De l’effet papillon au « penser global, agir local », L’État du Monde (Un dur réveil) pense la crise climatique comme portrait du monde.
Comment lutter contre le réchauffement climatique quand nombre d’ustensiles familiers et de gestes quotidiens apparemment anodins contribuent à polluer la planète? À quel point un grille-pain, un sèche-cheveux ou un minibar, voire le simple fait de beurrer une tartine, peuvent être à l’origine de catastrophes écologiques comme incendies, tempêtes de sable ou tsunamis? L’idée étant de partir de ce qui est tellement proche qu’on y prête peu d’attention pour souligner, exemples à l’appui, le fait que la crise écologique n’est pas une réalité qui nous concerne seulement de loin, mais combien au contraire elle est dans la vie de tous les jours.
Le temps ne s’arrête jamais.
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L’État du Monde (Un dur réveil) c’est le premier spectacle d’un diptyque sur la crise climatique, achevé en 2024 avec le spectacle Terminal (L’État du Monde).